Jac Martin-Ferrières (1893-1972)
Albi, étude
Jac Martin-FerrièresL’Artaudière à l’aube
Jac Martin-FerrièresLe Peintre
Jac Martin-FerrièresPaysage symboliste à l’allée bleue
Jac Martin-FerrièresPaysans sur la place d’Arcos (Espagne)
Jac Martin-FerrièresSaint-Cirq-Lapopie (Lot), crépuscule
Jac Martin-FerrièresLa fatalité condamne-t-elle les enfants d’illustres au statut de « fils de » ? La vie et l’œuvre de Jac Martin-Ferrières s’appliquent à démontrer le contraire ! Elles révèlent en effet un destin original, guidé par le travail et un tempérament curieux que ne limitera aucun horizon, géographique ou pictural.
Très bohème, Martin-Ferrières gagne dans ce mode de vie une immense indépendance, un bien précieux à ses yeux qu’il cultivera en fuyant longtemps les marchands et les écoles.
Ce chemin de l’indépendance n’impliquera jamais le reniement du père, bien au contraire, Martin-Ferrières a toujours entretenu avec son géniteur une proximité complice, teintée d’une profonde admiration. l’héritier mettra d’ailleurs toute son énergie dans les années 1960 pour assurer la promotion et la valorisation de l’œuvre d’Henri Martin.