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Occitanie Musées est le réseau des professionnels de musées d'Occitanie. L'Association regroupe les professionnels des musées et des établissements à but culturel et patrimonial de la région Occitanie. Elle fédère plus de 200 professionnels dans tous les domaines d'activités des musées (direction, conservation, médiation, documentation, régie...). L'Association est une section régionale de l’AGCCPF, Association nationale des conservateurs et des professionnels des musées et des patrimoines publics de France.
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Jac Martin-Ferrières : symphonies colorées

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Du 13 mai au 17 septembre 2023

Lavaur | 81
Adapté à un
jeune public
Infos pratiques

Du 13 mai au 10 juillet
Du mardi au vendredi (fermé les jeudis) de 14h à 18h
Du samedi au dimanche de 14h à 18h
Du 11 juillet au 17 septembre
Du mardi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 18h
Du samedi au dimanche de 14h à 18h

Handicap moteur
Tarifs

De 0€ à 4€

Lieu

Musée du Pays de Cocagne
1 rue Jouxaygues
81500 Lavaur 05 63 58 56 55

Jacques Martin naît le 6 août 1893 à Saint Paul Cap-de-Joux, dans le petit château de Cabrilles que loue alors son père, le peintre Henri Martin (Toulouse 1860 – Labastide-du-Vert 1943). Dernier d’une fratrie de quatre enfants, Jacques grandit dans l’ombre du grand homme qui s’impose en ce début du XXe siècle comme l’une des principales figures de son temps. La jeunesse, heureuse, s’écoule entre Paris, le Lot et bientôt Collioure.

D’un caractère enjoué, passionné de musique, Jacques abandonne ses études scientifiques et consacre ses débuts de peintre à l’art délicat d’une peinture pointilliste, qu’il signe très tôt sous le nom d’artiste de Jac Martin-Ferrières. Paysages, natures mortes et portraits figurent déjà au menu.

Le peintre s’émancipe rapidement des références paternelles et trouve sa propre voie au milieu des années 20. Les prix et récompenses glanées au Salon lui offrent ses premiers voyages et l’occasion d’asseoir davantage une peinture plus charpentée, où s’exprime librement la couleur.

Touche-à-tout, grand expérimentateur, Martin-Ferrières s’adonne en parallèle durant près de 15 ans à la peinture à la fresque ou à l’huile de grands décors religieux et participe ainsi au renouveau de l’art sacré dans l’entre-deux-guerres.

Le voyage en France, à travers toute l’Europe et au-delà, devient après-guerre un véritable art de vivre, pratiqué en famille, voiture et caravane ! Le peintre-bohème fait là tout l’étalage de son immense talent de  paysagiste. Sa passion des hommes et de la nature donne notamment lieu dans les années 50 et 60 à d’étonnantes réunions d’images de Fleurs et Foules, où la couleur emporte tout.

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