Nos musées en ligne
L’association
Occitanie Musées est le réseau des professionnels de musées d'Occitanie. L'Association regroupe les professionnels des musées et des établissements à but culturel et patrimonial de la région Occitanie. Elle fédère plus de 200 professionnels dans tous les domaines d'activités des musées (direction, conservation, médiation, documentation, régie...). L'Association est une section régionale de l’AGCCPF, Association nationale des conservateurs et des professionnels des musées et des patrimoines publics de France.
Accès adhérent Administration des musées
Fiche Œuvre

Portrait de la cantatrice Pauline Garcia (épouse Viardot)

Pauline Garcia jeune fille (Mme VIARDET) © Tous droits réservés
Artiste

Firmin Salabert

(25 septembre 1811 Gaillac - 21 juillet 1895 Gaillac)
L’artiste
Chronologie
1840-1850
Technique
Pastel sur papier
Dimensions
32,5 x 42,5
Numéro d’inventaire
93.2.12
Collection
Dessin
Voir la collection
En savoir plus

Pauline Garcia-Viardot – cantatrice française d’origine espagnole
Paris, 18 juillet 1821 – 18 mai 1910
Sœur de Maria Malibran, Pauline fut élève de Litzt. Si elle était une pianiste de haut niveau, elle débuta une carrière de chanteuse en 1833 dans un concert avec son beau-frère Charles Bériot. En 1839, elle chanta pour la première fois à Paris et à Londres dans « Otello » de Rossini où elle assura avec brio la succession de Malibran que le public attendait. Forte de ses premiers succès, elle reprit tout le répertoire rossinien. En avril 1840, elle épousa l’historien d’art Louis Viardot, traducteur du « Don Quichotte » de Cervantès, directeur du Théâtre-Italien et ami de George Sand. La vie de Pauline Viardot est indissociable du milieu artistique et littéraire du siècle. Elle comptait parmi ses proches George Sand, Tougueniev, Musset, Chapin, Saint Saêns, Gounod et Fauré. Sa carrière fut une des plus importantes du siècle à Paris et en Europe. Elle se rendit plusieurs fois en Russie, à Moscou et à Saint-Pétersbourg. Le rôle qui a marqué sa carrière est « Orphée » de Glück. Elle fut aussi l’auteur d’opérettes dont le libretiste était Yvan Tourgueniev. En 1883, après la mort de son mari et de Tourgueniev, elle se consacra à ses enfants et à ses élèves. Elle mourut en 1910, léguant au Conservatoire de Paris la participation autographe de « Don Giovanni » de Mozart.

À découvrir ici
Dans la même collection
Voir la collection