Glorification d’un saint guerrier.
Chronologie
Technique
Dimensions
Statut administratif
Numéro d’inventaire
Provenance.
Vente publique à Toulouse en 2001; achat dans le commerce d’art à Toulouse en 2002 avec l’aide du Fonds régional d’acquisition pour les musées de Midi-Pyrénées.
Oeuvre en rapport.
A l’origine contrecollé sur un même support que Martyre de sainte Catherine d’Alexandrie
Ces deux études contrecollées sur un même support lors de leur entrée au musée, ne correspondent à aucun tableau conservé de Despax. Nous savons toutefois que l’important programme décoratif de Notre-Dame de la Dalbade, commencé en 1747 par une Nativité de la Vierge encore en place (en fait une copie du tableau de Jean Restout peint trois ans auparavant pour la chapelle du séminaire de Saint- Sulpice), comportait un Martyre de sainte Catherine. Parmis les autres tableaux se trouvait, d’après l’histographe Joseph Malliot, un "Martyre de sain Maurice" et une "Apothéose de saint Eloi" qui l’un et l’autre pourraient être rapprochés de notre second dessin. Devons-nous supposer une "Glorification de saint Maurice"? Ou plutôt -sans autre argument que l’aspect et les attributs du personnage- une "Glorification de saint Guillaume d’Aquitaine" pour lequel Antoine Rivalz a laissé deux tableaux ? Le personnage est un saint militaire tenant une épée à la main, un heaume devant lui, une lance tenue par un ange à ses côtés. Il est accueilli au Ciel pas la Saine Trinité qu’accompagne un groupe d’anges.
Les mentions portées au dos du dessin du Martyre de sainte Catherine indiquent comme dimention du tableau définitif , selon le système métrique: 1,948m x 1,705m